« La défense de l’homme et de son environnement est un problème de survie. Certains le nient. Par intérêt ou par bêtise. (…) Ce sont des inconscients ou des irresponsables. Tant pis pour eux.
Les autres, quelque soit l’issue finale, auront au moins la satisfaction du devoir accompli. Et ce sera peut-être leur seule récompense. (…)

Je suis arrivé à la seule conclusion indiscutable, irréfutable : agir vite, profondément, de façon draconienne pour enrayer, pendant qu’il est encore temps, la détérioration générale de la « qualité de la vie », la destruction de la nature, l’aliénation des qualités qui font de l’Homme un Homme. (…)
Car il vaut mieux se tromper avec l’espoir de sauver l’Homme, que de se tromper avec le risque de le voir détruit. Car il vaut mieux se battre que d’attendre. Même si le combat est désespéré – ce qui est loin d’être le cas. (…)
J’ai dit et je le répète : chacun doit agir dans sa propre sphère avec les moyens dont il dispose.
Il faut passer de la parole aux actes.
Aujourd’hui.
Tout de suite. »

Jusqu'au cou... et comment s'en sortir - 1979 - Ed. Fernand Nathan
Paul Emile VICTOR

 

« Le monde a commencé sans l’homme et il s’achèvera sans lui. »

Tristes Tropiques – 1955 – Ed. Plon
Claude LEVI- STRAUS

 

" La terre ne nous appartient pas, elle nous est prêtée par nos enfants. "

Proverbe amérindien